Saturday, January 31, 2009
Friday, January 30, 2009
Le Hainaut s'organise contre les tags
L'intercommunale Ipalle et le MET ont signé vendredi une convention portant sur le nettoyage des tags dans la zone territoriale dépendant de Mons. L'opération se fera au prix coûtant.
Vendredi, Paul-Olivier Delannois, président d'IPALLE (intercommunale de propreté publique du Hainaut occidental), et Raoul Dumont, directeur du SPW (service public de Wallonie) pour la région territoriale de Mons, ont signé à Tournai pour une durée de trois ans une convention portant sur le nettoyage des tags et des graffitis sur les installations du MET le long du domaine routier et autoroutier.
D'abord ouvert aux 23 communes du Hainaut occidental, puis à la population, le service "Graffiti" d'Ipalle s'adresse à présent au secteur public via le MET, les districts routiers et autoroutiers ne disposant pas du personnel et du matériel nécessaires pour exécuter ce travail de détagage.
Dans cette convention, le SPW s'engage à payer le coût de l'intervention de détagage et au nettoyage des graffitis au coût horaire de 53 euros, représentant le prix de la main d'oeuvre, auquel s'ajoute le prix coûtant des consommables utilisés (sables, mazout, produits spéciaux...).
"En moyenne, une demi-heure est nécessaire à deux ouvriers pour nettoyer une superficie de 15m2. Une équipe de deux ouvriers peut procéder au détagage d'une superficie de 50 à 70m2 par jour. Tout dépend cependant du support sur lequel le tag a été effectué. Le travail est différent selon que le tag ait été apposé sur une pierre bleue, de la brique, un coffret en polyester ou encore un panneau routier. Nous utilisons des sables extrêmement fins, des lingettes ou encore des produits tels que le Grafiroxy", explique un des ouvriers d'Ipalle chargé de cette opération.
Afin de lutter contre l'incivisme public sur les bâtiments publics, Ipalle a investi il y a trois ans dans l'achat en fonds propres d'un camion totalement équipé. Pas moins de 110.000 euros ont été investis dans l'achat de ce véhicule doté d'une hydro sableuse, d'une station de lavage de haute pression à eau chaude, de deux réservoirs de 1.000 litres et d'un groupe électrogène permettant de travailler en autonomie.
30 jan 2009 Source : www.7sur7.be Wednesday, January 28, 2009
Saturday, January 24, 2009
Friday, January 23, 2009
Vingt-deux auteurs présumés de graffitis interpellés à Bruxelles en 2008.
La cellule Tag de la police de Bruxelles-Ixelles a identifié et interpellé 22 auteurs présumés de graffitis en 2008, a indiqué vendredi la police locale. Sept de ces personnes ont été déférées au parquet de Bruxelles. Cinq tagueurs ont été pris en flagrant délit.
Un tagueur présumé interpellé en 2008 est soupçonné d'être l'auteur de tags et graffitis relevés à 326 endroits différents en Région bruxelloise, dont sur la caserne de la police fédérale à Etterbeek. Il est en aveu. Un autre, qui est également passé aux aveux, est soupçonné d'être l'auteur de graffitis trouvés à plus de 80 endroits.
La cellule Tag a par ailleurs surpris en flagrant délit, au mois d'août, cinq jeunes en possession de matériel servant à taguer et qui venaient de réaliser une fresque sur la façade d'un bâtiment.
La cellule Tag a comparé les tags et graffitis photographiés et repris dans 551 dossiers à ceux figurant dans sa "tagothèque" et pour lesquels des auteurs sont déjà attribués. La comparaison a été fructueuse dans 121 cas, indique la police.
Ces nouveaux éléments permettent aux enquêteurs de poursuivre, sur base de suspicions sérieuses, les auteurs présumés, explique la police qui précise que les auteurs de tels faits sont passibles de sanctions pénales ou administratives, et risquent par ailleurs de devoir rembourser les frais de nettoyage. La police de Bruxelles-Ixelles a déjà identifié à partir de sa "tagothèque" des auteurs de tags réalisés en France; à Arras et à Paris.
Source : http://www.infomonde.be
Un tagueur présumé interpellé en 2008 est soupçonné d'être l'auteur de tags et graffitis relevés à 326 endroits différents en Région bruxelloise, dont sur la caserne de la police fédérale à Etterbeek. Il est en aveu. Un autre, qui est également passé aux aveux, est soupçonné d'être l'auteur de graffitis trouvés à plus de 80 endroits.
La cellule Tag a par ailleurs surpris en flagrant délit, au mois d'août, cinq jeunes en possession de matériel servant à taguer et qui venaient de réaliser une fresque sur la façade d'un bâtiment.
La cellule Tag a comparé les tags et graffitis photographiés et repris dans 551 dossiers à ceux figurant dans sa "tagothèque" et pour lesquels des auteurs sont déjà attribués. La comparaison a été fructueuse dans 121 cas, indique la police.
Ces nouveaux éléments permettent aux enquêteurs de poursuivre, sur base de suspicions sérieuses, les auteurs présumés, explique la police qui précise que les auteurs de tels faits sont passibles de sanctions pénales ou administratives, et risquent par ailleurs de devoir rembourser les frais de nettoyage. La police de Bruxelles-Ixelles a déjà identifié à partir de sa "tagothèque" des auteurs de tags réalisés en France; à Arras et à Paris.
Source : http://www.infomonde.be
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